mardi 9 octobre 2012

Analyse des pratiques du Travail Social en Haïti dans le secteur du PVVIH/Sida


Plan

A- Travail social définition
Bref historicité du travail social
Apparition du travail social en Haïti

B-PVVIH/SIDA définition
  • Historique
  • Naissance de la maladie
  • Évolution de la maladie
  • Apparition de la maladie en Haïti

C- Analyse des pratiques du travail en Haïti dans le secteur PVVIH/Sida
  • Le Travail Social dans le milieu du PVVIH Sida
  • Intervention des Travailleurs Sociaux auprès des PVVIH
  • Réinsertion des PVVIH/Sida par des travailleurs sociaux


Introduction
Le Travail Social est une discipline scientifique qui intervient auprès des individus, des groupes et des communautés. Dans leurs pratiques, les travailleurs sociaux font des interventions auprès des personnes en difficultés du point de vue économique, physique, sociale et psychologique. Parmi ces catégories de personnes, nous avons des PVVIH Sida. Ces dernières, sont en difficultés en raison des problèmes somatique et psychosocial comme l’altération de l’état générale de la personne, la perte de confiance en soi, la stigmatisation et la discrimination. Elles ont également des problèmes d’ordre économique. Ainsi, en vue de donner une réponse a ces problèmes cruciaux, plusieurs institutions ont pris l’initiative d’apporter leur aide auprès de ces personnes. Par ailleurs, les professionnels qui interviennent auprès de cette catégorie sont des Infirmiers (ères), des Médecins, des Psychologues et des travailleurs (ses) Sociaux (les).
Notre travail contiendra une définition du Travail social, histoire du Travail Social dans le monde et en Haïti, définition et historicité du Sida, Apparition du sida en Haïti, Évolution du Sida et Perception du sida. Ce travail aura également une analyse de la pratique du Travail Social en Haïti dans le milieu du PVVIH, l’intervention des Travailleurs Sociaux auprès des PVVIH et la réinsertion des PVVIH Sida par les Travailleurs Sociaux.     

Définition du Travail Social
Il existe diverses définitions du Travail Social. Elles varient suivant les courants idéologiques et les positions des auteurs. Dans le cadre de notre travail, nous adoptons celle proposée par l’Association Internationale des Écoles de Travail Social et du Fédération Internationale des Travailleurs Sociaux en 2001 :
La profession d’assistant social ou de travail social cherche à promouvoir le changement social, la résolution des problèmes dans le contexte des relations humaines, la capacité et la libération des personnes afin d’améliorer le bien-être général. Grâce à l’utilisation des théories du comportement et des systèmes sociaux, le travail social intervient au point de rencontre entre les personnes et leur environnement. Les principes des droits de l’homme et de la justice sociale sont fondamentaux pour la profession.

Historique du Travail Social
            La première forme qu’a connue la profession du Travail Social était l’assistance sociale qui était assurée par la famille et l’Église, en vue de répondre aux problèmes socio-économiques que confrontaient les populations les plus défavorisées dans les sociétés occidentales industrialisées. Au XIXème, la structure socio-économique de l’époque a connue des bouleversements qui ont provoqué des transformations dans la vie des gens. Sous l’influence de l’industrialisation et de l’urbanisation, les deux principales institutions su-mentionner qui assuraient les assistances ont été affaibli à cause de l’amplification des problèmes socio-économiques dû à l’industrialisation. Cette dernière allait provoquer une transformation dans les mesures d’assistance. C’est alors que de nouvelles formes d’assistance allaient faire leur apparition. C’est ainsi que :
Des associations de bienfaisance de statut privée se créèrent et se consacrèrent presque exclusivement aux soulagements de la misère ; pour des motifs bien connus, cette activité reçut à l’époque la priorité absolue. C’est de ce mouvement que sont issues les formes évoluées de l’assistance sociale que nous connaissons aujourd’hui. (BLUM Rudolph, traduit par JEANFRANCOIS SALBERG, 1970, page 19).
C’est ainsi que l’assistance sociale s’est institutionnalisée afin de rendre l’aide sociale plus efficace. De plus, avec la loi des pauvres (Poor Law), instituée à la fin du XVIIIème et au début du XIXème en Angleterre, est généralement conçue comme l’ancêtre de la profession de Service Social. Elle a mis en évidence la coïncidence entre l’émergence du Service Social et l’avènement de l’économie de marché : <<c’est dans le contexte de la Révolution industrielle, dans la formation de l’économie capitaliste de marché, mais surtout dans la formation de la classe ouvrière, que se forgent les questions sociales qui vont marquer l’époque>>. (LOUIS-JUSTE Jean Anil, cité par Polanyi, 1980 : 98, cité par Selma Maria Schons in Assistência Social entre a ordem e a << des-ordem>>, Cortez, 1999.
En 1893, il y a eu pour la première fois un congrès international, regroupant plusieurs associations de bienfaisance, en vue de créer des institutions de formation spécialisée pour réorienter la nouvelle profession de travailleur social. Par la suite, des services sociaux allaient être offerts par des institutions sociales comme ce fut le cas en France ou « le groupe fondateur de la maison sociale s’est proposée, comme but, l’amélioration de la vie du peuple à tout les degrés, par la pénétration mutuelle des classes. La maison sociale reçoit et surveille l’enfant hors de l’école (garderies scolaires, abri social de l’enfance), facilite aux jeunes gens l’apprentissage et les prépare à la vie professionnelle (enseignement pratique, cours techniques élémentaires), cherche des emplois aux ouvriers sans travail (placement gratuit), procure l’assistance médicale et judiciaire(consultations gratuites),rapproche dans des réunions familières tous les travailleurs, ouvriers, employés, étudiants (cours du soir, conférences sociales, cercles, bibliothèques populaires), développe la mutualité sous toutes ses formes (prêts gratuits, livrets, retraites, etc.), en un mot, s’efforce à résoudre les questions sociales par l’union intime et féconde de tous les éléments et de toutes les classes du peuple français ». (DARTIGUENAVE, Jean-Yves, 2010).
Au début du XIXème siècle, avec Mary Richmond, les méthodes d’assistance ont subit de grande influence comme le diagnostic dans le Service Social pour pouvoir déterminer les facteurs de détresse que connait l’individu. De ce fait, elle a abouti avec le mouvement qui, par la suite va donner les formes d’aides de conception moderne.
Et finalement, le Travail Social que nous considérons comme la dernière étape de la discipline va venir avec de nouvelles bases pour se rassoir, qui sont la conscientisation et la révolution dans l’action sociale et qui constitue l’essence même de la profession du Travail Social à un niveau plus avancé.

 Historique du Service Social en Haïti
            Au cours des années 1944, L’Etat haïtien faisait face à un ensemble de problème du point de vue économique, politique et social. Le pays a connu de pillage dans ces forêts et de l’endettement. Ce qui entraine une carence de politique sociale cohérente et autonome. Ainsi, sous une recommandation de l’Organisation Internationale du Travail, l’École de Service Social (1944) allait voir le jour, selon le professeur Jean Anil LOUIS JUSTE dans son texte intitulé Service Social et Science Humaines : Rapport épistémologique ou relation ontologique. Pourtant, il existait des pratiques d’assistance sociales dans le milieu populaire, ´ travers l’Église et la famille. L’Etat allait renforcer cette pratique en créant une Caisse d’Assistance Sociale.
Par ailleurs, le Travail Social, en tant que discipline scientifique, a fait son apparition en Haïti dans un contexte ou le gouvernement de Jean Claude  Duvalier prônait  la révolution économique en  faisant appel à des industries de sous traitance. Ainsi, Jean Claude Duvalier a pris l’initiative de créer la Faculté des Sciences Humaines par le biais de Salomon Pierre Louis en 1974 en vue d’étendre des projets de développement communautaire pour pouvoir contrôler le cœur et l’esprit de la masse populaire. (LOUIS JUSTE, Jean Anil, 2009, p 3).

Définition du Sida
Étant une maladie sociale et contagieuse, le sida se définit comme une complication de l’infection du Virus Immuno Humain(VIH), manifestant durant une longue période sans signe clinique. En d’autres terme, le sida signifie Syndrome d'Immuno Déficience Acquis, il représente le dernier stade de l'infection par le VIH1 et /ou VIH 2

Historique du Sida
Le sida, une maladie qui représente un fléau très en vogue dans le monde. Il remonte au cours des années 70 chez les singes en Amérique du Nord notamment aux États-Unis. Et les premiers signes de l’épidémie sont apparus à la fin des années 80. Les trois premiers cas de SIDA ont été répertoriés à Los Angeles au début de l’année 1981. Rétrospectivement, le virus a été identifié sur un spécimen de sang prélevé dans l’année 1959. De ce fait, les premières études ont montré qu’il s’agit d’une infection encore inconnue qui se transmet par voie sanguine et sexuelle.  C’est en 1982 que  les Centres de Contrôle des Maladies (CDC) aux États-Unis a dénommé cette pathologie sous le nom de “4H” qui signifie hémophile, héroïnomane, homosexuel et haïtiens  Ce même centre nous fait savoir que ce sont  les hommes homosexuels qui ont été les premiers touchés par cette maladie. Par ailleurs, Le passage des différentes souches de VIS, du singe à l'Homme, peut être expliqué par le fait que les singes sont souvent capturés pour servir de gibier ou d'animal de compagnie, et des expositions à du sang contaminé, lors de morsures ou par blessures lors du dépeçage des animaux peuvent expliquer comment ces virus ont infecté l'homme.[] Pourtant, c’est En 1983 que Luc Montagnier  a identifié un premier virus responsable du Syndrome Immuno Déficience Acquis auquel il a donné le nom de L.A.V. (Lymphadenopathy associated virus). C’est au cours de cette même année que le premier document législatif relatif au VIH /SIDA a été adopté en Suède par la direction nationale de la santé publique et de la prévoyance sociale.  Par ailleurs, un second virus a été découvert en 1985 et la maladie devient un fléau très probant dans tous les pays du monde particulièrement dans les pays pauvres.

Apparition du sida en Haïti
Avant de devenir une maladie contagieuse en Haïti, le sida était connu sous le nom de 4H C’est-à-dire les haïtiens sont les promoteurs de cette maladie selon les stigmatisations de l’époque. Ainsi, Les premiers cas de SIDA rencontrés ont été observés à Port-au-Prince au cours des années 1980, selon une étude réalisée par Marie Lourdes BALTHAZAR en Juillet 2003, dans le cadre d’un PROGRAMME DE FORMATION EN MANAGEMENT ET GESTION DES SERVICES DE SANTÉ EN HAÏTI (DESS-MGSS).  
En effet, de nombreuses études ont été réalisées au cours des années1988, 1994, 1998, 1999 et 2000, par des institutions comme GHESKIO, IHE et Fondation Esther Bourcicault dans le but de retracer les différentes personnes infectées par le VIH sida ainsi que le nombre de personnes touchées. Cependant, de 1982 à 1986, des autorités nationales ont exprimé leur désaccord face à cette pandémie qui ne cesse d’outrager les haïtiens. Ces autorités sont motivées par l’inclusion des haïtiens dans l’appellation 4H de la maladie par le DCC. Ainsi, le Ministère de la Santé Publique et de la Population a créé deux commissions techniques en vue de prévenir la propagation de la maladie. Ces deux commissions ont été pris naissance en 1983 et 1985. Par ailleurs, il convient de signaler l’émergence de l’OPS/OMS durant cette période. C’est également en 1985 qu’on assiste au retrait des haïtiens du groupe 4H et l’apparition des tests de dépistage aux Etats-Unis.
En 1986, le Sida devient une pathologie relevant l’intervention de la Croix Rouge Haïtienne qui, par la suite, reconnue comme seule entité ayant le droit d’intervenir auprès de la catégorie des personnes touchées par ce fléau.


Évolution de la maladie
Contrairement aux différentes perceptions que préconisent la population vis-à-vis des personnes vivant avec le VIH/Sida en Haïti, cette maladie évolue avec le temps. Dans le temps les personnes vivant avec le VIH Sida sont stigmatisées, marginalisées et méprisées par les membres de la famille et de la communauté. De nos jours, cette maladie se conçoit comme une maladie qui mérite des prise en charge du point de vue psychosocial et médical de la part des professionnels comme les médecins, les travailleurs sociaux, les psychologues, les infirmiers ainsi que les membres de la communauté et de la famille grâce à des campagnes de sensibilisation et de formations de la part des instances œuvrant dans ce domaine. 

Institutions œuvrant dans le secteur du PVVIH/Sida en Haïti
Le sida qui devient un fléau très probant en Haïti, interpelle l’intervention de nombreuses institutions. Ces institutions sont entre autres : ONUSIDA, OPS/OMS, ASON, GHESKIO, Zanmi  la Santé de Cange, H.A.S (Hôpital Albert Schweitzer) CARE-Haïti, MSPP, Global Found, les centres pour le développement et la Santé, la Fondation Sogebank que ce soit dans le domaine de la prévention, prise en charge et réinsertion des PVVIH/Sida.


C- Analyse des pratiques du travail social en Haïti dans le secteur PVVIH/Sida

  • Le Travail Social dans le milieu du PVVIH Sida
 Le travail social, en tant que profession, a des pratiques dans le cadre des interventions auprès des individus, des groupes et des communautés. En ce sens, le travailleur social œuvrant dans le milieu du PVVIH/Sida a certaines pratiques surtout dans la question de la prise en charge psychosociale et la réinsertion de ces gens. En Haïti, la pratique de la profession du travail social s’inscrit dans la maintenance du statu quo au sein de population haïtienne surtout avec l’apparition de la profession en Haïti. Ainsi, les institutions œuvrant dans le domaine PVVIH/ Sida ont privilégié la prise en charge psychosociale et médicale, et la réinsertion des personnes infectées, puis la prévention des personnes non infectées. Cependant, il convient de signaler que La pratique du travail social dans le milieu des PVVIH en Haïti, se révèle très psychologisante, vu que les institutions qui interviennent dans ce secteur priorise la dimension psychologique de l’individu. En dépis que cette maladie frappe dans sa grande majeure partie les populations les plus démunies, elles continuent à persister dans cette voie .Elles font semblant ignorer les véritables causes de l’augmentation de cette maladie. Selon Michel Chauvière trois topiques[1] indépendantes peuvent dénommer dans la pratique de la profession : visite sociale, clinique sociale et médiation sociale ( DARTIGUENAVE, Jean Yves, 2010, p 152).  Le premier topique dénommé visite sociale se réfère dans la mouvance philanthropique auprès des pauvres. Le deuxième appelé clinique sociale consiste en un dépassement de l’asymétrie assistancielle par un projet social tout aussi asymétrique mais d’un autre ordre (Changement, tutorat, accompagnement, maïeutique…). (Op.cit). En dernier lieu, nous avons la médiation sociale qui assure le pont entre les deux topiques.
Parmi ces trois topiques, nous avons constaté que les institutions œuvrant dans ce domaine ont privilégié la clinique sociale dans leurs interventions.
Les personnes qui assurent la prise en charge psychosociale des personnes vivant avec le VIH sida ´ titre de travailleurs sociaux ne sont pas tous des professionnels. Certaines institutions ont l’habitude de donner des séminaires a des personnes en vue de les employer comme des´  travailleurs sociaux. Tout comme les travailleurs sociaux professionnels, ces soi-disant travailleurs sociaux ont pour rôle d’apporter leur contribution auprès des personnes victimes du VIH /Sida ´ travers des institutions œuvrant dans ce domaine. Ils ont également pour rôle de réinsérer les personnes touchées par le VIH qui, après avoir infecté, subi toute sorte de stigmatisation et de discrimination au sein de la famille et de la communauté.
                                                                                                                                         
  • Intervention des travailleurs sociaux auprès des PVVIH/Sida
L’intervention auprès des individus, des groupes et des communautés sont les trois axes d’interventions en travail social. De ce fait, les travailleurs sociaux qui interviennent auprès des personnes vivant avec le VIH Sida apportent de l’aide ´ ces gens. Ils font des entrevues, de l’assistance sociale, du counseling, et de l’histoire sociale de l’individu.  En plus, ils les informent et donnent des séances de formations sur la maladie. Ces travailleurs sociaux par le biais des institutions organisent des séances d’informations et de formations auprès des leaders religieux, ensuite   des groupes et des associations évoluant dans une communauté, en vue de faire la prévention contre cette maladie. Par ailleurs, il faut dire que ces institutions à travers leurs programmes qu’exécutent les travailleurs sociaux, ne tiennent pas compte vraiment l’éducation sexuelle de la population et de sa culture. Ce qui constitue un obstacle majeur pour pouvoir obtenir le résultat escompte dans ce domaine.
  • Réinsertion des PVVIH/Sida par des travailleurs sociaux
Dans le maintien de l’équilibre du point de vue psychosocial, les travailleurs sociaux ont pour rôle d’aider les PVVIH Sida à reprendre confiance en soi dans leur situation post trauma, puis les réinsérer dans la communauté en évitant les stigmatisations des personnes infectées au sein de la famille et de la communauté qu’il évolue. 

Conclusion
En fin de compte, le travail social en tant que profession est utilisé dans le milieu du PVVIH comme un instrument pouvant assurer la prévention, la prise en charge psychosocial et la réinsertion des personnes infectées et affectées par le VIH Sida.  Les pratiques d’intervention auprès des PVVIH en Haïti se réalisent à travers la logique des institutions tout en créant une certaines dépendance chez les personnes.  
  















Bibliographie
Association Arcat, Les Travailleurs Sociaux face au sida, l’accompagnement social, France, 1995.
BLUM, Rudolph, Traduit par Jean François Salberg, Dimension sociologique du travail social, ed.centirion, France, 1970.
DARTIGUENAVE, Yves Jean, Pour une Sociologie du Travail Social, ed. Jouve, France, Octobre 2010.
LOUIS JUSTE, Jean Anil, Service Social et Sciences Humaines : rapport épistémologique ou relation ontologique. (Date de la publication non trouvée)
LOUIS JUSTE, Jean Anil, Travay Sosyal ak Aksyon Kominote : Ki rapò teyorik ak pratik yo genyen an Ayiti ? Mai 2009.








  
Résumé
Le sida, une maladie sociale qui devient un fléau en Haïti. Cette maladie interpelle l’intervention d’un ensemble d’institutions et de professionnels. De ce fait, le Travailleur social œuvrant dans le milieu du PVVIH se réalise a travers la prise en charge psychosociale auprès des individus infectés et affectés. La plupart des personnes qui interviennent auprès des PVVIH /Sida ne sont pas tous des professionnels en Travail Social. Cependant, ceux qui ont une licence en Travail social jouent un rôle exécutant comme tous les autres travailleurs sociaux non qualifiés. Les institutions œuvrant dans ce domaine sont pour la plupart des organismes privés. Pourtant, les institutions publiques sont majoritaires financés par des organismes internationaux.













[1] .Le terme topique est utiliser pour designer la combinaison de quelques caractéristique de base qui lui paraissent figurer dans chaque nouvelle émergence professionnelle relative au champ du travail social. (Chauviere, 2004, p 104) 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Laisser votre commentaire ici