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mercredi 22 février 2012
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Les étapes de la vie amoureuse
Toute relation amoureuse évolue selon des étapes qui ont été très bien analysées par les psychologues : la passion, la lutte pour le pouvoir, le partage du pouvoir, l’engagement et l’ouverture sur autrui.
La passion
Pendant la séduction qui culmine dans la phase de la passion, première étape de la relation amoureuse, vous n’êtes pas encore certain que la relation est bien établie ; hommes et femmes se montrent alors sous leur plus beau jour afin de séduire et de conquérir l’autre. C’est pendant cette phase que les hommes sont les plus communicatifs et les plus attentifs : ils soignent leur image et sont intéressés par tout ce que vous dites ; ils n’ont d’yeux que pour vous et vous complimentent sans cesse. C’est pendant cette phase que la femme regarde et écoute l'homme avec la plus grande admiration : elle est toujours prête à se coller et à faire l’amour avec vous, aussi souvent que vous le désirez ; elle ne vous critique jamais et est prête à vous suivre dans tous vos projets.
En même temps, vous auréolez la personne convoitée : c’est votre âme sœur, votre prince, votre princesse et l’amour que vous éprouvez l’un pour l’autre surmontera toutes les épreuves. Vous passez vos nuits à bavarder et à faire et refaire l’amour. Vous ne pouvez plus vous passer l’un de l’autre : vous êtes éperdument amoureux, peut-être même pour la véritable première fois de votre vie. C’est la phase que l’on voudrait faire durer toujours.
Les biochimistes ont démontré que, pendant cette phase, le cerveau humain produisait une hormone appelée la phényléthylamine. C’est cette hormone qui serait responsable des états euphoriques que l’on vit lorsqu’on est en amour. Cette hormone aurait les mêmes effets que la cocaïne. Si la personne désirée vous quitte lors de cette période, c’est le manque, la peine d’amour. Si vous êtes un drogué de la phényléthylamine, c’est vous qui partirez lorsque vous sentirez que la passion diminue pour trouver ailleurs une nouvelle flamme qui restimulera la production de phényléthylamine. Vous irez de passion en passion, incapable de véritable engagement amoureux.
Par contre, si vous acceptez la baisse de la passion, votre cerveau remplacera la production de phényléthylamine par la production d’endorphines qui, elles, possèdent les mêmes propriétés que la morphine. Vous vivrez alors des jours de bonheur tranquille : vous pourrez dormir en paix, en silence, dans les bras l’un de l’autre. Vous n’aurez jamais été aussi bien, aussi en harmonie de toute votre vie. Votre couple vous comblera.
Hélas, la passion... passe ! En fait, pendant la phase de passion, vous n’étiez pas réellement amoureux de l’autre personne ; vous étiez amoureux des sensations que l’idée que vous vous faisiez de l’autre personne provoquait dans votre corps et votre tête. Vous avez ignoré tous ses petits défauts ; vous n’avez vu et entendu que ce qui faisait votre affaire ; vous avez mis de côté tout ce qui pouvait émousser votre passion. Et vous vous êtes mariés ou, comme disent les espagnols, vous vous êtes « mis en maison » (casarse) ; vous avez commencé à cohabiter.
En même temps, vous auréolez la personne convoitée : c’est votre âme sœur, votre prince, votre princesse et l’amour que vous éprouvez l’un pour l’autre surmontera toutes les épreuves. Vous passez vos nuits à bavarder et à faire et refaire l’amour. Vous ne pouvez plus vous passer l’un de l’autre : vous êtes éperdument amoureux, peut-être même pour la véritable première fois de votre vie. C’est la phase que l’on voudrait faire durer toujours.
Les biochimistes ont démontré que, pendant cette phase, le cerveau humain produisait une hormone appelée la phényléthylamine. C’est cette hormone qui serait responsable des états euphoriques que l’on vit lorsqu’on est en amour. Cette hormone aurait les mêmes effets que la cocaïne. Si la personne désirée vous quitte lors de cette période, c’est le manque, la peine d’amour. Si vous êtes un drogué de la phényléthylamine, c’est vous qui partirez lorsque vous sentirez que la passion diminue pour trouver ailleurs une nouvelle flamme qui restimulera la production de phényléthylamine. Vous irez de passion en passion, incapable de véritable engagement amoureux.
Par contre, si vous acceptez la baisse de la passion, votre cerveau remplacera la production de phényléthylamine par la production d’endorphines qui, elles, possèdent les mêmes propriétés que la morphine. Vous vivrez alors des jours de bonheur tranquille : vous pourrez dormir en paix, en silence, dans les bras l’un de l’autre. Vous n’aurez jamais été aussi bien, aussi en harmonie de toute votre vie. Votre couple vous comblera.
Hélas, la passion... passe ! En fait, pendant la phase de passion, vous n’étiez pas réellement amoureux de l’autre personne ; vous étiez amoureux des sensations que l’idée que vous vous faisiez de l’autre personne provoquait dans votre corps et votre tête. Vous avez ignoré tous ses petits défauts ; vous n’avez vu et entendu que ce qui faisait votre affaire ; vous avez mis de côté tout ce qui pouvait émousser votre passion. Et vous vous êtes mariés ou, comme disent les espagnols, vous vous êtes « mis en maison » (casarse) ; vous avez commencé à cohabiter.
La lutte pour le pouvoir
Mais voilà que votre corps et votre tête se sont accoutumés aux effets de la phényléthylamine et des endorphines. Vous êtes toujours heureux, heureuse, mais l’intensité de votre bonheur s’est atténuée et vous revenez progressivement sur terre. Surprise, vous vous rendez compte que votre prince charmant se conduit parfois comme un crapaud, que votre princesse charmante sort de plus en plus régulièrement ses griffes et ses crocs. Vous prenez contact avec la personne réelle avec laquelle vous êtes en amour.
Vous entrez dans la deuxième phase de votre relation de couple : la lutte pour le pouvoir. L’anxiété et l’insécurité de la séduction et de la passion vous forçaient à vous montrer sous votre meilleur jour ; la sécurité de votre bonheur et la certitude que l’autre vous aime vous permettent de vous laisser aller et de vous montrer sous votre vrai jour. Vous ne faites plus semblant, vous êtes vous-mêmes et vous commencez à dire et même à exiger ce que vous attendez de votre relation de couple. Vous l’aviez déjà dit, mais l’autre vous admirait et il(elle) n’a pas réellement entendu ce que vous disiez. S’il est vrai que l’amour est aveugle, il rend aussi sourd.
C’est alors que vous vous rendez compte que l’autre ne partage pas tout à fait vos points de vue sur les loisirs, l’argent, le choix de la maison, la répartition des tâches ménagères, le nombre et l’éducation des enfants, les ami(e)s, la fréquence des rapports sexuels, le type et l’endroit de vos vacances, le choix des films… en fait, la façon d’aimer et de s’investir dans le couple.
Vous vous rendez compte qu’il met l’accent sur sa carrière, alors que vous voudriez qu’il s’occupe davantage de la famille. Vous vous rendez compte qu’elle veut bien faire l’amour, mais à sa manière. Vous êtes méticuleuse, il laisse tout traîner. Vous adorez les argumentations serrées, elle met de l’émotion partout. Vous aimez les grands rassemblements de famille, il préfère aller à la chasse ou à la pêche avec ses amis. Vous aimez lire votre journal le matin, elle a toujours quelque chose à vous reprocher. Vous aimez les téléromans ; il préfère les émissions sportives. Il projette une retraite dans le sud ; vous préfèreriez être près de vos petits-enfants. Ainsi de suite.
Cette lutte pour le pouvoir est inévitable et même nécessaire. C’est cette lutte qui permet de savoir à qui l’on a affaire et qui nous permet d’affirmer nos besoins et attentes face au couple. Cette lutte amène les deux partenaires à se situer l’un par rapport à l’autre. Malheureusement, la majorité des couples s’enlise dans cette lutte et s’engage dans des impasses :
« C’est toi qui as commencé ! » « Non, c’est toi ! »
« Si tu m’écoutais aussi quand je te parle. »
« Toi et ta maudite famille ! Vous êtes tous pareils. »
« Si t’arrêtais de critiquer pour faire changement. »
« Si tu ne remettais pas toujours tout à demain. »
« Si tu te ramassais, aussi. »
« Si tu faisais un homme (une femme) de toi. »
« Qu’est-ce j’ai fait au bon Dieu pour me retrouver avec toi? »
« On dirait que tu le fais exprès. »
« Je te l’avais bien dit. »
« Tu les (en parlant des enfants) laisses toujours en faire à leur tête. »
« Tu n’as qu’à t’en occuper un peu plus (des enfants). »
« Tu veux toujours avoir raison ».
« De toute façon, tu ne comprendras jamais rien ».
« Bon, c’est reparti ! »
« C’est ça, va-t-en ! »
Ces paroles vous sont familières. Ne vous en faites pas, vous êtes normaux. Nos deux amants intimes et passionnés deviennent, lors de cette phase, deux ennemis intimes. Tous les deux s’aiment et veulent continuer de s’aimer, mais les frictions sont de plus en plus nombreuses. Ces frictions sont dues aux différences existant entre les hommes et les femmes, aux différences existant entre cet homme particulier et cette femme particulière ; elles sont aussi dues à nos attentes frustrées face à la vie de couple et au paradoxe de la passion, i.e. la coexistence du besoin de fusion passionnelle et du besoin d'autonomie.
À ce stade, se joue l’avenir du couple. Plus de la moitié des couples divorceront et beaucoup répèteront la même dynamique avec un nouveau partenaire. Trente pour-cent 30 % des couples se résigneront, développeront une relation de couple déséquilibrée, se feront une guerre entrecoupée de périodes d’accalmies (sursaut de production de phényléthylamine) et rechercheront des compensations dans le travail, la famille ou ailleurs. À peine 20 % des couples réussiront à transformer cette lutte inévitable pour le pouvoir en partage du pouvoir, troisième étape de la vie de couple.
Mais voilà que votre corps et votre tête se sont accoutumés aux effets de la phényléthylamine et des endorphines. Vous êtes toujours heureux, heureuse, mais l’intensité de votre bonheur s’est atténuée et vous revenez progressivement sur terre. Surprise, vous vous rendez compte que votre prince charmant se conduit parfois comme un crapaud, que votre princesse charmante sort de plus en plus régulièrement ses griffes et ses crocs. Vous prenez contact avec la personne réelle avec laquelle vous êtes en amour.
Vous entrez dans la deuxième phase de votre relation de couple : la lutte pour le pouvoir. L’anxiété et l’insécurité de la séduction et de la passion vous forçaient à vous montrer sous votre meilleur jour ; la sécurité de votre bonheur et la certitude que l’autre vous aime vous permettent de vous laisser aller et de vous montrer sous votre vrai jour. Vous ne faites plus semblant, vous êtes vous-mêmes et vous commencez à dire et même à exiger ce que vous attendez de votre relation de couple. Vous l’aviez déjà dit, mais l’autre vous admirait et il(elle) n’a pas réellement entendu ce que vous disiez. S’il est vrai que l’amour est aveugle, il rend aussi sourd.
C’est alors que vous vous rendez compte que l’autre ne partage pas tout à fait vos points de vue sur les loisirs, l’argent, le choix de la maison, la répartition des tâches ménagères, le nombre et l’éducation des enfants, les ami(e)s, la fréquence des rapports sexuels, le type et l’endroit de vos vacances, le choix des films… en fait, la façon d’aimer et de s’investir dans le couple.
Vous vous rendez compte qu’il met l’accent sur sa carrière, alors que vous voudriez qu’il s’occupe davantage de la famille. Vous vous rendez compte qu’elle veut bien faire l’amour, mais à sa manière. Vous êtes méticuleuse, il laisse tout traîner. Vous adorez les argumentations serrées, elle met de l’émotion partout. Vous aimez les grands rassemblements de famille, il préfère aller à la chasse ou à la pêche avec ses amis. Vous aimez lire votre journal le matin, elle a toujours quelque chose à vous reprocher. Vous aimez les téléromans ; il préfère les émissions sportives. Il projette une retraite dans le sud ; vous préfèreriez être près de vos petits-enfants. Ainsi de suite.
Cette lutte pour le pouvoir est inévitable et même nécessaire. C’est cette lutte qui permet de savoir à qui l’on a affaire et qui nous permet d’affirmer nos besoins et attentes face au couple. Cette lutte amène les deux partenaires à se situer l’un par rapport à l’autre. Malheureusement, la majorité des couples s’enlise dans cette lutte et s’engage dans des impasses :
« C’est toi qui as commencé ! » « Non, c’est toi ! »
« Si tu m’écoutais aussi quand je te parle. »
« Toi et ta maudite famille ! Vous êtes tous pareils. »
« Si t’arrêtais de critiquer pour faire changement. »
« Si tu ne remettais pas toujours tout à demain. »
« Si tu te ramassais, aussi. »
« Si tu faisais un homme (une femme) de toi. »
« Qu’est-ce j’ai fait au bon Dieu pour me retrouver avec toi? »
« On dirait que tu le fais exprès. »
« Je te l’avais bien dit. »
« Tu les (en parlant des enfants) laisses toujours en faire à leur tête. »
« Tu n’as qu’à t’en occuper un peu plus (des enfants). »
« Tu veux toujours avoir raison ».
« De toute façon, tu ne comprendras jamais rien ».
« Bon, c’est reparti ! »
« C’est ça, va-t-en ! »
Ces paroles vous sont familières. Ne vous en faites pas, vous êtes normaux. Nos deux amants intimes et passionnés deviennent, lors de cette phase, deux ennemis intimes. Tous les deux s’aiment et veulent continuer de s’aimer, mais les frictions sont de plus en plus nombreuses. Ces frictions sont dues aux différences existant entre les hommes et les femmes, aux différences existant entre cet homme particulier et cette femme particulière ; elles sont aussi dues à nos attentes frustrées face à la vie de couple et au paradoxe de la passion, i.e. la coexistence du besoin de fusion passionnelle et du besoin d'autonomie.
À ce stade, se joue l’avenir du couple. Plus de la moitié des couples divorceront et beaucoup répèteront la même dynamique avec un nouveau partenaire. Trente pour-cent 30 % des couples se résigneront, développeront une relation de couple déséquilibrée, se feront une guerre entrecoupée de périodes d’accalmies (sursaut de production de phényléthylamine) et rechercheront des compensations dans le travail, la famille ou ailleurs. À peine 20 % des couples réussiront à transformer cette lutte inévitable pour le pouvoir en partage du pouvoir, troisième étape de la vie de couple.
Le partage du pouvoir
Pour bien comprendre la dynamique du couple, comparons-le à une journée. Une journée est constituée d’un jour et d’une nuit dont la durée varie selon les saisons. Le jour est rempli de lumière et d’activités. La nuit est remplie d’obscurité et de repos. À l’aube et au crépuscule, le jour et la nuit se rencontrent. Ces deux périodes sont remplies d’harmonie et de paix : il ne fait ni jour, ni nuit ; il ne vente pas ; les oiseaux ne chantent plus ; le temps est comme suspendu. On le voit, le jour et la nuit se complètent pour former la journée, comme le Yin et le Yang le font pour constituer le Tao.
L’homme possède des facultés qui lui sont uniques et une façon bien à lui d’envisager la vie et le couple ; la femme possède des facultés qui lui sont uniques et une façon bien à elle d’envisager la vie et le couple. La femme peut remplir des fonctions (grossesse, enfantement et allaitement, séduction, préoccupations relationnelles, réceptivité, capacité de relation symbiotique) que l’homme ne peut remplir, ni même comprendre. L’homme possède des capacités (force physique, créativité matérielle, esprit de compétition, intrusivité, instinct de chasseur, besoin d’indépendance) que la femme ne peut égaler ni même comprendre. On ne peut demander à l’homme de remplir les fonctions féminines et vice-versa, tout comme on ne peut demander à la nuit de remplir les fonctions du jour et vice-versa. On ne peut demander aux deux que de se compléter pour former un tout. La femme ne peut demander à l’homme de vibrer symbiotiquement avec elle comme elle peut le faire avec son foetus ; l’homme ne peut s’attendre à ce que sa femme « embarque » dans ses activités comme il peut le vivre avec ses amis ou associés. Ces deux attentes sont des illusions parmi tant dautres.
Dans le partage du pouvoir, l’un et l’autre, après avoir pris connaissance des particularités individuelles de cet homme et de cette femme, acceptent d’utiliser ces particularités, différentes et parfois contradictoires, pour former leur couple. L’un et l’autre ne cherchent plus à transformer l’autre pour répondre à ses attentes propres ; l’un et l’autre n’accusent plus l’autre d’être le responsable de la frustation de ses illusions adolescentes face au couple. Les deux prennent conscience qu’ils sont amants et ennemis intimes (il y aura toujours des différends même dans les couples les plus heureux), mais les deux mettent dorénavant l’accent sur l’intimité et l’apport personnel, quoique différent, de chacun dans ce couple unique. Les deux exploitent les qualités de l’autre au profit du couple (et de la famille). Les deux partagent le pouvoir qu’ils transfèrent maintenant au couple, comprenant que seul le couple, et non pas l’autre, peut satisfaire les besoins de chacun.
L’engagement
L’un des principaux indices démontrant que le couple a partagé le pouvoir et qu’il est prêt à entrer dans la quatrième phase de son évolution, c’est qu’il lui est devenu maintenant plus facile de redire « Je t’aime ». Durant la lutte pour le pouvoir, « Je t’aime » était souvent étouffé par « Je te déteste ». Durant cette phase, dire « Je t’aime » équivalait à donner plus de pouvoir à l’autre. Le «Je t’aime» de la troisième phase n’a plus du tout la même signification que le « Je te mangerais » de la passion fusionnelle. Il signifie plutôt « Je m’engage »
« Je connais maintenant tes défauts et tes qualités, tes forces et tes faiblesses, et je les accepte, même si des fois… »
« Tu n’es plus la belle princesse charmante à laquelle j’avais rêvé, tu n’es plus le prince charmant et fort de mes rêveries, ton corps a même subi l’épreuve du temps, mais je suis si bien avec toi. »
« Je connais un peu mieux tes besoins et tes attentes face à Nous et je m’engage à tout faire pour les satisfaire; nous savons très bien que je n’y parviendrai pas, mais je sais que tu va apprécier mes efforts.»
« Je ne veux plus te changer, je t’accepte tel(le) que tu es. »
«Tu n’es pas le partenaire idéal, j’aurais pu vivre avec quelqu’un d’autre, mais je suis content(e) du chemin que Nous a parcouru et je veux continuer de vieillir avec ce Nous.»
Le « Je t’aime » de la quatrième phase signifie en fait « Je Nous aime ». Les deux amants sont devenus de réels complices. C’est à cette étape-ci que l’on devrait contracter mariage et non au moment de la passion aveuglante.
Ouverture sur autrui
Il est facile, au restaurant par exemple, de différencier les vieux couples qui s’aiment de ceux qui se sont fait la guerre et qui ne parviennent plus à communiquer. Les couples heureux se touchent, se regardent, se parlent ; leurs yeux sont pétillants ; ils sont animés. Ils respirent l’harmonie et la paix et deviennent, pour nous, des exemples que la vie à deux est possible. C’est ce que j’appelle l’ouverture sur autrui, la dernière étape de l’évolution du couple.
D’ailleurs, ces couples, souvent à la retraite, s’impliquent socialement, font du travail bénévole ou sont tout simplement toujours prêts à partager leur bonheur avec leurs enfants, leurs petits-enfants, leur entourage immédiat et lointain. Ils font preuve d’une très grande réceptivité, ayant été, malgré les épreuves inévitables de la vie, comblés par celle-ci. Ils deviennent des modèles à imiter et sont souvent des modèles enviés.
À l’inverse, il est facile aussi d’identifier, toujours au restaurant, les couples qui en sont encore à l’étape de la passion ou ceux qui n’ont jamais surmonté la lutte pour le pouvoir. Ces derniers échangent à peine quelques propos ; l’homme lit souvent un journal ou jette des regards tout autour ; la femme, tête baissée, regarde son mari par en-dessous, espérant qu’il s’intéresse à elle et lui en voulant de ne pas le faire. La tension entre les deux est évidente tout comme, pour les jeunes couples, la passion est évidente parce que rien n'existe autour d'eux.
Dans la réalité, ces étapes ne sont évidemment pas aussi tranchées ; elles s’imbriquent et se superposent. Mais elles illustrent bien les grandes étapes à travers lesquelles évoluent tous les couples. Nous aurons l'occasion, dans les prochains numéros de Corps et Âme, de revenir sur les différences existant entre les hommes et les femmes afin de mieux comprendre les mécanismes qui font qu'un couple peut être heureux et complémentaire ou en guerre et très malheureux.
Yvon Dallaire
Psychologue, Sexologue, Québec, Canada.
source: Chemin de vie
l'informateur: Figée depuis 300 millions d’années, une forêt réap...
l'informateur: Figée depuis 300 millions d’années, une forêt réap...: Des scientifiques chinois et américains ont découvert une forêt enfouie sous des cendres volcaniques depuis 300 millions d’années. Elle pour...
Figée depuis 300 millions d’années, une forêt réapparaît en Chine
Des scientifiques chinois et américains ont découvert une forêt enfouie sous des cendres volcaniques depuis 300 millions d’années. Elle pourrait fournir des informations sur les végétaux et le climat au début du Permien. Certains arbres ont encore leurs feuilles. Il s’agit en quelque sorte d’un Pompéi du monde végétal.
Le 25 août de l’an 79, une éruption du Vésuve enfouissaient les villes de Pompéi et d’Herculanum sous d’épaisses couches de cendres, les figeant pour des siècles. La découverte de ces sites, respectivement vers 1600 et 1709, a permis de mieux comprendre la culture romaine, sans pour autant pouvoir en reconstituer l’évolution. Les informations récoltées ont été des plus précieuses.
L’histoire semble se répéter bien que ce ne soit pas une ville romaine qui ait été découverte. Des scientifiques chinois et américains, menés par Jun Wang de l'Académie des sciences chinoises, viennent de trouver une forêt enfouie sous de la cendre volcanique dans le nord de la Chine. Certains végétaux possèdent encore leurs feuilles et cônes bien qu'ils soient âgés de 300 millions d’années. Cette découverte devrait être publiée la semaine prochaine dans la revue Pnas.
Le site se trouve à proximité de la ville de Wuda. Suite aux activités minières fortement présentes dans la région (exploitation du charbon), seuls trois sites d’études ont été analysés. Ils cumulent tout de même une surface de 1.000 mètres carrés. Les données obtenues suffisent pour caractériser la paléoécologie locale de l’époque.
Cette racine de sigillaires, un genre aujourd'hui éteint, est conservée au musée de Genève. Ces plantes pouvaient atteindre 30 mètres de hauteur. Elles seraient apparues vers la fin du Carbonifère puis auraient disparu au début du Permien. Le tronc était recouvert de feuilles d'apparence herbeuse. © Musée de Genvève, DR
Cette racine de sigillaires, un genre aujourd'hui éteint, est conservée au musée de Genève. Ces plantes pouvaient atteindre 30 mètres de hauteur. Elles seraient apparues vers la fin du Carbonifère puis auraient disparu au début du Permien. Le tronc était recouvert de feuilles d'apparence herbeuse. © Musée de Genvève, DR
Des plantes également trouvées en Amérique et en Europe
Toutes les plantes fossiles ont été répertoriées et mesurées sur les trois sites. Six groupes de végétaux ligneux ont été observés. Des fougères en arbre constituaient la canopée basse tandis que des sigillaires et des cordaites pouvaient atteindre une hauteur de 30 mètres. Des spécimens complets appartenant au groupe des noeggerathiales ont également été trouvés. Les représentants de ce taxon dominent même en nombre l’un des sites. Toutes les espèces végétales observées n’existent plus de nos jours.
Cet écosystème a été figé au début du Permien. À cette époque, les plaques tectoniques forment la Pangée. L’Europe et l’Amérique du Nord sont accolées. La Chine est divisée en deux petits continents. Toutes ses régions se trouvent au niveau de l’équateur, sous un climat tropical similaire à l’actuel. Ceci explique peut-être pourquoi les végétaux observés en Chine ont également été trouvés en Amérique du Nord et en Europe. Il n’y a cependant qu’en Asie que le groupe Noeggerathiales semble dominant.
Grâce à cette découverte, les chercheurs disposent maintenant d’une photographie de l’évolution des végétaux en Chine au début du Permien. Ce résultat pourrait servir de référence pour d’autres études et fournir plusieurs informations sur le climat de l’époque.
Un dessinateur a représenté la forêt avant son enfouissement (voir ci-dessous). Selon les auteurs de la découverte, il s’agit de la premièrereconstitution d’une forêt asiatique fossile de tous les temps.
source: futura-sciences
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l'informateur: L’ex baron de la droque Jacques Quétant condamné p...
l'informateur: L’ex baron de la droque Jacques Quétant condamné p...: Lors d’une audition mardi, le procureur fédéral américain Lynn Kirkpatrick a soutenu que l’ancien dealer de drogue proche de l’ex-préside...
2.9 millions de téléspectateurs pour le téléfilm sur "Toussaint Louverture"
La diffusion de ce téléfilm sur France 2 a capté près de 10.5% des téléspectateurs français devant leur poste. Ce qui a placé France 2 à la 4ème position des chaines les plus suivi en prime-time mercredi soir lors de la diffusion du 2ème volet du téléfilm.
Le téléfilm Toussaint Louverture, retraçant une histoire méconnue surtout pour les français, pose la question du bien et du mal qui suscite déjà des débats. Le directeur de la collection Folio Biographie chez Gallimard, M. Gérard de Cortanze, a jugé ce téléfilm de "manichéisme". "Je veux bien qu'on dramatise pour les besoins de la fiction mais là il y a une volonté de détourner la vérité historique pour que les Blancs apparaissent comme des esclavagistes et des négrophobes. Ce qui m'inquiète, c'est la façon dont vont réagir les jeunes des banlieues lorsqu'ils vont voir le film", a déploré M. Gérard de Cortanze. Le réalisateur Philippe Niang a tenu à réfuter cette accusation. "Le film n'a rien de manichéen. Au contraire, il va dans le sens de la concorde et ne cherche pas à opposer les méchants Blancs aux bons Noirs. Toussaint est affranchie à l'âge de 33 ans par son maître qui est un Blanc. Le général Lavaux, son ami tout au long du film, est également un Blanc", a affirmé M. Niang.
Ce téléfilm en 2 volets, dont la première partie est intitulé "L’Envol de l’Aigle", et la seconde "Le combat des Aigles", a été réalisé par Philippe Niang et interprétée par Jimmy Jean-Louis. La fiction raconte la vie de Toussaint de Breda, dit Toussaint Louverture, esclave de Saint-Domingue, affranchi par son maître, qui prit la tête d'un mouvement de libération de l'île pendant la Révolution française. Une révolte qui déboucha sur l'indépendance et la création d'Haïti.
source:hpn
L’ex baron de la droque Jacques Quétant condamné par la justice américaine à 27 ans de prison pourrait voir sa peine diminuée de moitié par un tribunal de Miami qui estime que Quétant a collaboré pour permettre de remonter à d’autres trafiquants.
Lors d’une audition mardi, le procureur fédéral américain Lynn Kirkpatrick a soutenu que l’ancien dealer de drogue proche de l’ex-président Jean Bertrand Aristide avait aidé les autorités américaines à identifier d’autres trafiquants et qu’il devait bénéficier d’une réduction de peine. Le juge Federico Moreno qui a attendu l’affaire n’a pas encore pris de décision. Jacques Quétant avait toujours déclaré que l’ex président Aristide avait toujours reçu de fortes sommes d’argent de son cartel, mais les avocats de M. Aristide ont toujours démenti ces informations.Les autorités américaines estime que Jacques Quétant a fait entrer plus de 40 tonnes de drogue aux Etats-Unis entre 1987 et 1996.
Installation bientôt d’un nouveau système d’éclairage au Stade Sylvio Cator
Les travaux d’installation d’un nouveau système électrique au stade national de football Sylvio Cator commenceront dans une semaine avec l’érection des tunnels, puis, le déploiement des câbles, selon une note de la Fédération Haïtienne de Football (FHF).
Ces travaux qui dureront environ trois semaines devront être achevés à temps pour l’ouverture de la saison sportive, indique la FHF informant que le stade sera fermé jusqu’à mi-mars pour faciliter le déroulement des opérations.
Une délégation d’une entreprise américaine dénommée « Tech line » installée au Texas et spécialisée dans la conception et l’installation des systèmes d’éclairage a séjourné en Haïti les 15 et 16 février en vue de planifier la reprise et la fin des travaux d’installation de ce nouveau système d’éclairage au Stade Sylvio Cator.
« Les nouvelles installations seront d’une capacité de 1,200 Lux, le niveau d’éclairage qui sera exigé à partir de 2014 pour les transmissions TV en HD [télévision haute définition] au niveau international », indique la note de FHF.
Ces nouvelles installations permettront au pays d’accueillir les matches de la « Champion’s’ League » (La ligue des champions) de la Confédération de football d’Amérique du Nord, d’Amérique centrale et des Caraïbes (Concacaf), assure la fédération.
Récemment, l’ancien système d’éclairage avait obligé le Tempête F.C à disputer ses deux matches sur le terrain de Morelia F.C du Mexique, rappelle t-elle. Construit lors du championnat de la Concacaf en 1973, le système d’éclairage actuel est vétuste et dépassé par rapport aux normes internationales en vigueur, souligne la fédération.
La FHF affirme avoir bénéficié parfois d’une dérogation spéciale de la Concacaf, ayant même été contrainte de recevoir entre 2003 et 2007 ses matches à domicile à Miami. Le nouveau système d’éclairage entre dans le cadre des travaux de rénovation de l’unique stade national, endommagé par le séisme du 12 Janvier 2010. Suite à ce séisme, d’importants travaux de modernisation ont été entrepris, dont l’installation d’une pelouse artificielle dernière génération ($700,000.00 dollars). Des travaux de réparation des vestiaires d’équipes, la modernisation et l’aménagement de bureaux annexes pour la FHF ($300,000.00 dollars) ainsi que l’installation du système pour matches nocturnes ($700,000 dollars) ont été, entre autres, réalisés.
Haïti-Carnaval : Quand c’est fini… Bilan partiel, 1 mort et 130 blessés, mais aussi au moins 5 personnes tuées dans des accidents
Jusqu’à cette matinée du mercredi 22 février (7h30) le groupe T-vice était encore dans les rues des Cayes (200 km au sud de Port-au-Prince), qui ont organisé pour la première fois le carnaval national haïtien (19-21 fév.), a constaté les journalistes AlterPresse.
Le groupe créait encore l’animation pour ses nombreux fans apparemment insatiables. Ce qui a paralysé la circulation des véhicules et a contrarié d’autres personnes qui voulaient se rendre à leurs activités coutumières.
Des carnavaliers d’un air fatigué expriment leurs satisfactions sur le déroulement de cet événement culturel organisé pour la première fois dans une ville de province, sans incident majeur.
Un premier bilan partiel fait état d’un mort et 130 blessés sur le parcours du carnaval. Mais, des accidents enregistrés dans la région durant les festivités auraient fait au moins 5 morts et plusieurs blessés, selon des informations communiquées à AlterPresse.
Plus d’une centaine d’arrestations ont été effectuées et des armes à feu confisquées, selon la police, qui n’a pas encore foruni de bilan définitif.
L’ex-député des Cayes, Jean David Génesté (Enseignant), qui commentait l’événement dans la presse, a déclaré que ce carnaval a offert une chance de plus au département du Sud afin de « vendre ses valeurs culturelles, historiques et touristiques ».
Selon lui, c’était « un exercice difficile mais réussi » pour les Cayes.
Toutefois, Génesté estime qu’il reste beaucoup à faire dans la mise en place des infrastructures nécessaires visant à développer l’industrie touristique au profit du développement économique de la région.
Déjà, au deuxième jour du carnaval, au cours d’une conférence de presse conjointe, le président Michel Martelly, le maire des Cayes, Pierre Yvon Chery, et des membres du comité organisateur se sont tous félicités de la réussite, ont-ils dit, des festivités organisées dans la 3e ville du pays.
Martelly a souligné qu’il a fallu peu de temps pour mettre en œuvre le projet suite à la décision prise en décembre dernier.
Anticipant le mécontentement des milliers d’acteurs du carnaval de Port-au-Prince, cette année orphelins d’une manifestation culturelle jugée incontournable, le chef de l’Etat a promis un « carnaval des fleurs » en juillet prochain à la capitale.
L’un des représentants des Cayes au sein du comité du carnaval, Georges Elie, demande au président de faire du département du sud une zone prioritaire dans le cadre des grands axes du programme de son gouvernement.
Elie a cite entre autres la concrétisation des projets de construction du port et de l’aéroport international du Sud.
En marge de cette conférence, le comité du carnaval a promis de fournir sous peu le rapport financier des activités.
Des milliers de visiteurs (haitiens et étrangers) sont en train de quitter la ville ce mercredi 22 février avec l’espoir d’y revenir. Harry Staco (Cayes), Charles Diky (Département du Nord) témoignent de leur joie et félicitent les autorités pour avoir choisi les Cayes comme siège de cette édition du carnaval, plus grand spectacle populaire en Haiti. De nombreux jeunes qui étaient en camp carnavalesque eux aussi laissent la métropole du Sud avec un sentiment de satisfaction.
Les autorités satisfaites : Un mort et 130 blessés aux Cayes
Le Président Michel Martelly, qui a fait la fête dans la troisième ville du pays où le grand absent était le Premier ministre Garry Conille, promet à la population de Port-au-Prince un carnaval des fleurs, l’été prochain
Temps fort du carnaval haïtien, le défilé des chars musicaux se déroulait à l’occasion du troisième et dernier jour gras en présence notamment du Président Michel Martelly dans la ville des Cayes (environ 200 km au sud de Port-au-Prince) où les organisateurs ont affiché une grande satisfaction après avoir communiqué un bilan de 1 mort et 130 blessés pour les deux premières journées.
Un jeune homme de 29 ans, Schiller Guerrier, qui était en état d’ivresse, a été tué par un char dans la nuit de lundi à mardi. 70 nouveaux blessés, pour la plupart légers, sont venus s’ajouter aux 60 enregistrés dimanche.
Après le passage dans le désordre d’environ 2.000 figurants représentant différentes expressions carnavalesques traditionnelles, en tête du cortège se trouvait mardi le groupe Racine RAM suivi de Brothers Posse et Voix des îles. Deux groupes contraints de partager le même char malgré la popularité phénoménale de leurs méringues très dérangeantes pour l’administration actuelle.
Le chef de l’Etat, qui s’est livré à des déhanchements très applaudis lors d’une apparition sur le char de Djakout #1 –après une première aux cotés des musiciens de Kreyol La- s’est félicité du bon déroulement de cette première édition du carnaval national hors de Port-au-Prince. De l’avis de l’ancien chanteur de Compas Michel Martelly dit « Sweet Micky », au pouvoir depuis neuf mois, cette initiative entre dans le cadre du processus de « décentralisation » du pays.
Pour sa part, le maire des Cayes, Yvon Chéry, estime à plus de 300.000 le nombre de carnavaliers venus de Port-au-Prince, d’autres régions et de la diaspora ayant investi la troisième ville d’Haïti durant les trois jours gras.
Accompagné de son épouse Sophia Saint-Rémy et de plusieurs ministres, M. Martelly a quant à lui relayé les propos de quelqu’un suggérant qu’un million de personnes auraient fait le déplacement.
Les autorités tablaient sur d’importantes retombées économiques que pourraient entraîner ces festivités pour l’ensemble de la cote sud et ses destinations touristiques d’une beauté incontestable.
Si le chef de l’Etat était entouré des Sénateurs Joseph Lambert (sud-est), Youri Latortue (Artibonite, nord), Fritz Carlos Lebon (sud), Yvon Buissereth (sud)et Michel Clérié (Grand’Anse, sud-ouest), en revanche, l’absence du Premier ministre Garry Conille et du deuxième Sénateur du sud, Francky Exius, était très remarquée.
La plus grande fête populaire haïtienne survient au milieu d’une crise politique majeure au sommet du pouvoir et de relations très tendues entre le Parlement et Martelly qui refuse de collaborer à l’enquête ouverte au Sénat sur sa présumée double nationalité étrangère.
A Port-au-Prince où la décision unilatérale de la Présidence de délocaliser le carnaval a fait de nombreux mécontents, plusieurs bandes à pied évoluaient mardi soir au Champ de Mars, centre traditionnel de l’événement, totalement bouclé par de nombreux agents d’unités spécialisées de la Police Nationale comme la CIMO et l’USGPN.
Michel Martelly a promis qu’une fois que les milliers de déplacés du 12 janvier 2010 auront quitté la grande place centrale située au coeur de la capitale, un carnaval des fleurs sera organisé l’été prochain afin de permettre aux port-au-princiens de s’éclater.
Ce type de carnaval avait été instauré sous la dictature pour célébrer en juillet l’anniversaire de naissance de l’ancien Président à vie Jean-Claude Duvalier (1971-1986). spp/Radio Kiskeya
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