«... l’Assemblée est souveraine, et la Commission a été créée en Assemblée, mais nous ne voyons pas la nécessité de cette Commission, une Commission est créée lorsqu'il n'y a pas de preuve et que l’on cherche à faire la lumière [...] dans le dossier de l’arrestation d'Arnel Bélizaire ce n’est pas nécessaire, parce qu'il y a eu une résolution qui a été prise [...] et la deuxième semaine du mois de janvier, il faut que nous retournions en Assemblée et que nous débattions de cette résolution, à savoir si elle va être maintenue dans sa forme initiale, si elle va s'élargir ou se fermer.
Je pense pour ma part, que c'est sur ça que mes collègues doivent se concentrer et non sur une nouvelle Commission [...] il y a un ensemble d'hommes et de femmes cultivés au sein du Parlement, toutes les choses sont claires... il y a un dossier qui est monté, qui est mal monté par l'Exécutif, ils savent quelles instances sont impliquées directement [...] après, ils connaissent les instances suivantes...
Aujourd'hui, allons nous prendre des mesures contre les instances concernées ou pas ? [...] Aurons nous le courage pour faire des mises en accusation afin que le pays ne tombe pas dans les problèmes ? Nous allons dire à la Nation : voici ce que nous sommes supposés faire, mais du fait que nous ne pouvons pas les laisser souffrir, car nous sommes des leaders, des serviteurs, alors nous allons chercher un compromis à l'amiable au bénéfice du peuple haïtien...
Je ne vais pas m'opposer à la position que l’Assemblé va prendre [...] nous attendons la rentrée parlementaire pour voir comment nous allons faire le suivi... »
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